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râlerie
Je cite : "Le registre de langue, assez daté, a aussi été modifié pour paraître plus actuel"
Je n'ai pas *encore* écouté l'émission, mais le "registre de la langue" modernisé correspond en fait à mettre tous les passés simples au présent, rendant le texte complètement illisible et mal écrit.
Ça, ce n'est pas moi qui le dit, mais ma fille de 10 ans.
Depuis, on cherche les *vieux* club des 5 dans les brocantes...
Dommage d'avoir ainsi gâché une belle série, que j'ai dévorée en mon temps.
Je n'ai pas *encore* écouté l'émission, mais le "registre de la langue" modernisé correspond en fait à mettre tous les passés simples au présent, rendant le texte complètement illisible et mal écrit.
Ça, ce n'est pas moi qui le dit, mais ma fille de 10 ans.
Depuis, on cherche les *vieux* club des 5 dans les brocantes...
Dommage d'avoir ainsi gâché une belle série, que j'ai dévorée en mon temps.
Très bon billet de Grise Bouille, avec lequel je suis entièrement d'accord, bien malheureusement.
Quant à aller danser sur les cendres de cette société pourrie quand elle sera effondrée, j'en suis !
Quant à aller danser sur les cendres de cette société pourrie quand elle sera effondrée, j'en suis !
C'est une blague ? Quiconque a eu affaire au sav de la Fnac sait ce que je veux dire...
En ce moment même, ma mère est en litige avec eux pour un retour qu'ils assurent n'avoir jamais reçu... On parle à un mur. Elle a décidé de ne plus jamais commander chez eux.
Alors championne de quoi, franchement, je sais pas...
En ce moment même, ma mère est en litige avec eux pour un retour qu'ils assurent n'avoir jamais reçu... On parle à un mur. Elle a décidé de ne plus jamais commander chez eux.
Alors championne de quoi, franchement, je sais pas...
Ah ben voilà. Ça fait des mois que nous essayons de configurer l'envoi d'emails depuis l'adresse académique de ma compagne, dans l'académie de Créteil.
Impossible : l'académie de Créteil ne fournit aucun serveur d'envoi (SMTP) uniquement un serveur de réception... Et conseille d'utiliser le serveur d'envoi de notre fournisseur d'accès à Internet... Ce qui n'est plus possible depuis plusieurs années, pour des raisons évidentes de sécurité.
Interface obsolète, obligation de se connecter à un webmail pour envoyer des mails, configuration sous Android poussive...
Même pendant/après le confinement, aucun progrès, aucune amélioration. Les Profs sont la dernière roue du carrosse en termes d'accès aux 'nouvelles' technologie de communication... Et on leur demande de faire du télé enseignement... Cherchez l'erreur !
Je passe sur le fait qu'on ait fourni à ma compagne un ordinateur hors d'âge, sans connexion internet (ça règle le problème du mail, me direz-vous)
Impossible : l'académie de Créteil ne fournit aucun serveur d'envoi (SMTP) uniquement un serveur de réception... Et conseille d'utiliser le serveur d'envoi de notre fournisseur d'accès à Internet... Ce qui n'est plus possible depuis plusieurs années, pour des raisons évidentes de sécurité.
Interface obsolète, obligation de se connecter à un webmail pour envoyer des mails, configuration sous Android poussive...
Même pendant/après le confinement, aucun progrès, aucune amélioration. Les Profs sont la dernière roue du carrosse en termes d'accès aux 'nouvelles' technologie de communication... Et on leur demande de faire du télé enseignement... Cherchez l'erreur !
Je passe sur le fait qu'on ait fourni à ma compagne un ordinateur hors d'âge, sans connexion internet (ça règle le problème du mail, me direz-vous)
Si l’Éducation nationale n'est pas une fabrique à crétins, elle en est quand même remplie.
Je plussoie...
Juste histoire de participer à la contre campagne qui va naître contre la société générale... Je relais cette info !
Je reviens tout juste de la Nuit blanche à Paris, option "Périphérique réservé aux cyclistes"...
Dès le départ, j'avais tiqué : pourquoi les cyclistes voudraient-ils donc prendre le périphérique parisien ? Quand on est à vélo, on s'économise ; on évite les détours ; on choisit les trajectoires rectilignes ; on va droit au but. Parce que c'est *sa propre* énergie que l'on dépense, et pas celle de la planète.
Donc prendre le périphérique, au sens premier du terme, c'est faire un détour. Pourquoi donc, vouloir faire faire un détour aux cyclistes, si ce n'est pour remplacer le symbole de la voiture parisienne toute puissante par celui d'un vélo bringuebalant et clignotant, en deux mots : par le symbole du vélo dilettante.
Les personnes qui ont proposé cette animation font-ils du vélo dans Paris tous les jours ? Permettez-moi d'en douter. Car ce n'est pas par dilettantisme que nous circulons à vélo, mais parce que nous sommes pragmatiques, économes, soucieux de notre planète.
Mais foin de mauvais esprit, je suis quand même parti, ce soir, vers 20h, direction la Porte de Pantin, histoire de voir un peu ce qui se disait dans le milieu de la pédale parisienne (j'ai quand même laissé les enfants à la maison). Et devinez ce que j'ai trouvé en arrivant : un *gigantesque* bouchon de vélos, attendant les uns derrière les autres pour entrer sur le périph' : c'est tout de même fort de café, non ?
Le vélo est là pour *éviter* les bouchons, pas pour en créer de nouveaux !
Et là, ce soir, double peine : pour accéder à cette fameuse portion, j'ai été quasi tenu de slalomer entre les voitures qui, elles, n'avaient plus le droit de prendre les Portes de Pantin et de La Villette. Un double bouchon, de vélos d'une part, et d'automobilistes de l'autre. L'anarchie totale. Cette vision cocasse a fait rendre son dernier soupir à l'envie que j'avais eu de participer à cet évènement, et j'ai pris le piste cyclable qui *longe* le périph' sur la même distance et qui était, comme d'habitude, totalement vide.
À lire aussi :
http://www.leparisien.fr/paris-75/pour-la-nuit-blanche-un-embouteillage-de-velos-sur-le-periph-05-10-2019-8166966.php
Dès le départ, j'avais tiqué : pourquoi les cyclistes voudraient-ils donc prendre le périphérique parisien ? Quand on est à vélo, on s'économise ; on évite les détours ; on choisit les trajectoires rectilignes ; on va droit au but. Parce que c'est *sa propre* énergie que l'on dépense, et pas celle de la planète.
Donc prendre le périphérique, au sens premier du terme, c'est faire un détour. Pourquoi donc, vouloir faire faire un détour aux cyclistes, si ce n'est pour remplacer le symbole de la voiture parisienne toute puissante par celui d'un vélo bringuebalant et clignotant, en deux mots : par le symbole du vélo dilettante.
Les personnes qui ont proposé cette animation font-ils du vélo dans Paris tous les jours ? Permettez-moi d'en douter. Car ce n'est pas par dilettantisme que nous circulons à vélo, mais parce que nous sommes pragmatiques, économes, soucieux de notre planète.
Mais foin de mauvais esprit, je suis quand même parti, ce soir, vers 20h, direction la Porte de Pantin, histoire de voir un peu ce qui se disait dans le milieu de la pédale parisienne (j'ai quand même laissé les enfants à la maison). Et devinez ce que j'ai trouvé en arrivant : un *gigantesque* bouchon de vélos, attendant les uns derrière les autres pour entrer sur le périph' : c'est tout de même fort de café, non ?
Le vélo est là pour *éviter* les bouchons, pas pour en créer de nouveaux !
Et là, ce soir, double peine : pour accéder à cette fameuse portion, j'ai été quasi tenu de slalomer entre les voitures qui, elles, n'avaient plus le droit de prendre les Portes de Pantin et de La Villette. Un double bouchon, de vélos d'une part, et d'automobilistes de l'autre. L'anarchie totale. Cette vision cocasse a fait rendre son dernier soupir à l'envie que j'avais eu de participer à cet évènement, et j'ai pris le piste cyclable qui *longe* le périph' sur la même distance et qui était, comme d'habitude, totalement vide.
À lire aussi :
http://www.leparisien.fr/paris-75/pour-la-nuit-blanche-un-embouteillage-de-velos-sur-le-periph-05-10-2019-8166966.php
C'est bien triste, quand même, ce que l'état fait de ses agents...
Aujourd'hui, journée de grève en hommage à cette directrice, que son travail a tué. Il y a elle, mais il y a aussi tous ceux qui souffrent en silence, en courbant l'échine, qui subissent la mise à sac du système éducatif français, et d'une manière plus large, de l'ensemble de ses services publics.
De tristes belles planches à partager pour ne pas oublier. Jamais.
Aujourd'hui, journée de grève en hommage à cette directrice, que son travail a tué. Il y a elle, mais il y a aussi tous ceux qui souffrent en silence, en courbant l'échine, qui subissent la mise à sac du système éducatif français, et d'une manière plus large, de l'ensemble de ses services publics.
De tristes belles planches à partager pour ne pas oublier. Jamais.
Pourquoi avoir une carte équipée du sans-contact, c'est mal :
- ça n'est pas sécurisé (les données à l'intérieur de la carte bleue sont accessibles à tout appareil capable de les lire, c'est-à-dire par tous les smartphones modernes équipés d'une puce sans contact NFC) ;
- vous ne pouvez pas faire opposition sur le paiement sans contact ; en effet, aucune autorisation n'est demandée à la banque. Conséquence : si vous vous faites voler votre carte, vous devrez demander le remboursement des sommes que le voleur prélèvera via la fonctionnalité sans-contact jusqu'à expiration de la carte (soit 3 ans maximum à ce jour) ;
- si les banques promeuvent le sans-contact, c'est que vous dépensez plus d'argent avec ; déduisez-en ce que vous voulez.
À lire : "Paiements sans contact : l’opposition ne suffit pas", sur le site de l'UFC Que Choisir – https://www.60millions-mag.com/2018/03/16/paiements-sans-contact-l-opposition-ne-suffit-pas-11662
Pour finir, j'ai demandé à ma banque une carte non équipée du sans contact ; celle-ci s'est contentée de désactiver la possibilité de paiement, mais la carte contient quand même la puce sans-contact, non sécurisée et lisible par tout le monde... Et pas la peine d'essayer d'expliquer ça à un conseiller en ligne, ils n'ont tout simplement pas le niveau technique pour comprendre les implications de cette fonctionnalité.
C'est juste affligeant.
- ça n'est pas sécurisé (les données à l'intérieur de la carte bleue sont accessibles à tout appareil capable de les lire, c'est-à-dire par tous les smartphones modernes équipés d'une puce sans contact NFC) ;
- vous ne pouvez pas faire opposition sur le paiement sans contact ; en effet, aucune autorisation n'est demandée à la banque. Conséquence : si vous vous faites voler votre carte, vous devrez demander le remboursement des sommes que le voleur prélèvera via la fonctionnalité sans-contact jusqu'à expiration de la carte (soit 3 ans maximum à ce jour) ;
- si les banques promeuvent le sans-contact, c'est que vous dépensez plus d'argent avec ; déduisez-en ce que vous voulez.
À lire : "Paiements sans contact : l’opposition ne suffit pas", sur le site de l'UFC Que Choisir – https://www.60millions-mag.com/2018/03/16/paiements-sans-contact-l-opposition-ne-suffit-pas-11662
Pour finir, j'ai demandé à ma banque une carte non équipée du sans contact ; celle-ci s'est contentée de désactiver la possibilité de paiement, mais la carte contient quand même la puce sans-contact, non sécurisée et lisible par tout le monde... Et pas la peine d'essayer d'expliquer ça à un conseiller en ligne, ils n'ont tout simplement pas le niveau technique pour comprendre les implications de cette fonctionnalité.
C'est juste affligeant.
Ouarf.
Je crois pas une seconde que la Mairie de Paris œuvre *réellement* à faire baisser la délinquances routière sur les routes de la capitale...
Rien qu'en un retour de 30 minutes à vélo, sur l'axe Bastille-Stalingrad :
- aucun sas à vélo respecté ; les automobilistes et scooters sont même parfois *agressifs* dans l'occupation de cet espace normalement réservé aux vélos ;
- au moins trois motos se sont permis, sur le trajet, de prendre la piste cyclable devant moi, m'asphyxiant au passage ;
- une autre, en pleine accélération, ma doublé alors même que j'étais déjà en train de me faire dépasser par une voiture (elle est donc passée *entre* la voiture et moi) ;
- le pompon : cinq policiers en scooters qui déboulent en face de moi sur la piste cyclable, à contre sens et sans gyrophares, et qui m'enjoignent de me ranger sur le côté pour les laisser passer...
Je fais ce trajet deux fois par jour, cinq jours par semaine, et pas mal de fois dans l'année au final. Les contrôles de police, après lesquels je ne cours pourtant pas, se réduisent tellement à peau de chagrin qu'on en arrive aujourd'hui à cette situation ubuesque.
Ainsi, aujourd'hui, à Paris...
– On ne *respecte* pas les feux, on s'assoit dessus ;
– Devant les écoles, les *mêmes* scooters prennent tous les jours les *mêmes* pistes cyclables, parfois à contre-sens ;
– Vous pouvez vous garer sur les pistes cyclables, franchement, vous ne craignez rien ;
– Les piétons vous regardent arriver avec inquiétude, et vous laissent passer, même si le bonhomme est vert pour eux et que votre propre feu est rouge...
C'est *ça*, aujourd'hui, rouler à vélo à Paris.
S'il existait *réellement* une volonté politique de faire changer ces comportements, ça se saurait, et ça serait fait depuis longtemps. Le reste n'est que du vent.
Je crois pas une seconde que la Mairie de Paris œuvre *réellement* à faire baisser la délinquances routière sur les routes de la capitale...
Rien qu'en un retour de 30 minutes à vélo, sur l'axe Bastille-Stalingrad :
- aucun sas à vélo respecté ; les automobilistes et scooters sont même parfois *agressifs* dans l'occupation de cet espace normalement réservé aux vélos ;
- au moins trois motos se sont permis, sur le trajet, de prendre la piste cyclable devant moi, m'asphyxiant au passage ;
- une autre, en pleine accélération, ma doublé alors même que j'étais déjà en train de me faire dépasser par une voiture (elle est donc passée *entre* la voiture et moi) ;
- le pompon : cinq policiers en scooters qui déboulent en face de moi sur la piste cyclable, à contre sens et sans gyrophares, et qui m'enjoignent de me ranger sur le côté pour les laisser passer...
Je fais ce trajet deux fois par jour, cinq jours par semaine, et pas mal de fois dans l'année au final. Les contrôles de police, après lesquels je ne cours pourtant pas, se réduisent tellement à peau de chagrin qu'on en arrive aujourd'hui à cette situation ubuesque.
Ainsi, aujourd'hui, à Paris...
– On ne *respecte* pas les feux, on s'assoit dessus ;
– Devant les écoles, les *mêmes* scooters prennent tous les jours les *mêmes* pistes cyclables, parfois à contre-sens ;
– Vous pouvez vous garer sur les pistes cyclables, franchement, vous ne craignez rien ;
– Les piétons vous regardent arriver avec inquiétude, et vous laissent passer, même si le bonhomme est vert pour eux et que votre propre feu est rouge...
C'est *ça*, aujourd'hui, rouler à vélo à Paris.
S'il existait *réellement* une volonté politique de faire changer ces comportements, ça se saurait, et ça serait fait depuis longtemps. Le reste n'est que du vent.