146 shaares
Tiens, je me note ça, comme graines à trouver...
Solanum laxum (anciennement Solanum jasminoides)
Ipomea indica
Solanum laxum (anciennement Solanum jasminoides)
Ipomea indica
Pour plus tard...
Très bon billet de Grise Bouille, avec lequel je suis entièrement d'accord, bien malheureusement.
Quant à aller danser sur les cendres de cette société pourrie quand elle sera effondrée, j'en suis !
Quant à aller danser sur les cendres de cette société pourrie quand elle sera effondrée, j'en suis !
Whaou, cette BD est vraiment très bien. Basée sur un rapport indépendant commandé par le gouvernement japonais, on s'aperçoit surtout que, 10 ans plus tard, on ne sait toujours pas exactement ce qui s'est passé. En tout cas, le récit de ces 5 premiers jours est absolument glaçant.
Et on est pas dans de la science-fiction, pour une fois...
Fukushima, c'est...
- la plus grande catastrophe nucléaire maritime ;
- la plus grande centrale gérée par une entreprise privée (enfin, plus maintenant...) ;
- une catastrophe qui continue de se dérouler, encore maintenant, et pour des années.
Le pire, c'est que l'enquête semble déterminer que ce sont des négligences chroniques de la part de TEPCO qui ont mené à cet accident gravissime.
Heureusement, en France, nous sommes à l'abri.
Et on est pas dans de la science-fiction, pour une fois...
Fukushima, c'est...
- la plus grande catastrophe nucléaire maritime ;
- la plus grande centrale gérée par une entreprise privée (enfin, plus maintenant...) ;
- une catastrophe qui continue de se dérouler, encore maintenant, et pour des années.
Le pire, c'est que l'enquête semble déterminer que ce sont des négligences chroniques de la part de TEPCO qui ont mené à cet accident gravissime.
Heureusement, en France, nous sommes à l'abri.
Je pose ça là, ça fait des mois que j'essaie de mettre à jour mon ordi pro et que je n'y arrive pas...
Oh ben flûte... Je me souviens être allé faire une observation dans cet observatoire en 1997, avec le club des Marmousets (du centre de loisir de Macey). J'y ai observé en direct, pour la première fois de ma vie, les anneaux de Saturne. Tout comme les enfants qui participaient à cette sortie... Ce type de lieu devrait être conservé, au moins à des fins pédagogiques, si tant est que nous souhaitions que nous chères têtes blondes s'intéressent à la science...
Une nouvelle fois, Liu Cixin est une découverte. Bien que selon l'auteur, les Chinois ne soient pas encore parvenus à créer un univers de science-fiction complet, il arrive à intégrer son histoire dans un tel cadre que l'on ne sait jamais quelles sont les informations véritables et lesquelles sortent de son imagination. Une note de l'auteur reprécise d'ailleurs les choses à la fin de l'ouvrage.
Liu Cixin a visiblement vécu une expérience de foudre en boule, qui l'a énormément marqué, et dont il a tiré ce livre, époustouflant d'originalité et de rebondissements. Les deux premières pages du livre suffisent à accrocher le lecteur. Le reste est tout aussi fascinant, une fois la lecture commencée, on ne peut plus s'arrêter.
J'espère que depuis que celui-ci a paru, d'autres ont été traduits...
Liu Cixin a visiblement vécu une expérience de foudre en boule, qui l'a énormément marqué, et dont il a tiré ce livre, époustouflant d'originalité et de rebondissements. Les deux premières pages du livre suffisent à accrocher le lecteur. Le reste est tout aussi fascinant, une fois la lecture commencée, on ne peut plus s'arrêter.
J'espère que depuis que celui-ci a paru, d'autres ont été traduits...
Pareil que la crique précédente, c'est peut-être juste ce qu'on pourrait reprocher à Terry Goodkind (ou à son éditeur) : il a un don pour exploiter le filon jusqu'à son maximum... Mais comme ses livres sont tous super, on ne lui en veut pas trop (mais connaîtrons-nous la fin de l'histoire ?)...
Je viens de terminer la suite des chroniques de Nicci (T4), un Terry Goodkind, c'est comme un bonbon, on peut le garder un certain temps dans son papier, mais une fois entamé, impossible de s'arrêter... Sauf que maintenant que l'auteur est décédé, je me demande si il y aura une véritable fin à ces sagas... En attendant, c'est toujours aussi bien !!
Un nouvel auteur, que je ne connaissais pas, Hugh Howey. Outresable est, encore une fois, une dystopie, dans laquelle une Terre post-apocalyptique est entièrement recouverte de sable. Sur cette planète, des "plongeurs des sables" vont chercher les artefacts d'un monde oublié, et le fer vaut plus que de l'or... Jusqu'à ce que des brigands mettent la main sur d'anciennes bombes...
J'ai bien aimé l'idée de plonger dans le sable et de s'y mouvoir comme en pleine mer. L'histoire est prenante, bien racontée, et on aimerait bien qu'il y ait une suite.
À lire les pieds dans le sable. C'est dur, le sable.
J'ai bien aimé l'idée de plonger dans le sable et de s'y mouvoir comme en pleine mer. L'histoire est prenante, bien racontée, et on aimerait bien qu'il y ait une suite.
À lire les pieds dans le sable. C'est dur, le sable.
Et enfin, encore avant ça (j'ai terminé la série pendant le confinement 2020), il y a eu "Le Problème à trois corps", premier épisode d'une trilogie dans laquelle on va suivre le destin de l'humanité, d'aujourd'hui jusqu'à la fin de l'univers (non, non, pas moins !).
J'ai découvert Liu Cixin à l'occasion de la lecture de cette trilogie, et c'est absolument génial. Complexe mais d'une richesse infinie, qui vous amène à vous dire qu'il vous faudra relire la série plus tard... Une découverte !
J'ai découvert Liu Cixin à l'occasion de la lecture de cette trilogie, et c'est absolument génial. Complexe mais d'une richesse infinie, qui vous amène à vous dire qu'il vous faudra relire la série plus tard... Une découverte !
Et puis, encore avant, j'avais lu ça ! Alors là, toujours dans le style effondrement, mais à la sauce "Zombie". Attention, l'horreur n'est pas le cœur du livre, loin de là. Mais cette fois, c'est un virus qui décime l'humanité, transformant ses membres en monstres assoiffés de sang. Les Viruls vivent la nuit, ne supportent pas la lumière et se regroupent en hordes, sous la coupe d'un "Super-Virul", dont les intentions sont dévoilées au fur et à mesure du livre.
3 volumes vraiment géniaux, tant de par l'écriture que le sujet, qui amènent à penser les limites de l'humanité... (Qui a dit "panser" ?).
Depuis le premier confinement, je me fais un petit marathon "effondrement", et c'est incroyable comme ce sujet a inspiré les auteurs de SF de ces dernières années. 20 ans plus tôt, ils rêvaient de voitures volantes et de voyage dans l'espace, la génération 2000 est plus terre à terre...
3 volumes vraiment géniaux, tant de par l'écriture que le sujet, qui amènent à penser les limites de l'humanité... (Qui a dit "panser" ?).
Depuis le premier confinement, je me fais un petit marathon "effondrement", et c'est incroyable comme ce sujet a inspiré les auteurs de SF de ces dernières années. 20 ans plus tôt, ils rêvaient de voitures volantes et de voyage dans l'espace, la génération 2000 est plus terre à terre...
Et avant, j'avais lu ça, mais je ne suis pas sûr que c'était le premier d'une éventuelle série (d'une manière générale, ça serait bien que les éditeurs soient clairs sur ce point).
À mi-chemin entre SF catastrophiste et roman poétique, avec une petite dose de "Paul et Virginie" étonnante mais plutôt bien trouvée. Le début du livre est un peu traumatisant, mais nous emmène ensuite là où nous ne pensions pas aller, au propre comme au figuré. Étonnant.
À mi-chemin entre SF catastrophiste et roman poétique, avec une petite dose de "Paul et Virginie" étonnante mais plutôt bien trouvée. Le début du livre est un peu traumatisant, mais nous emmène ensuite là où nous ne pensions pas aller, au propre comme au figuré. Étonnant.
Vraiment pas mal, ce bouquin. Dans le style effondrement, j'appelle le grand-père, l'effondrement économique. Une famille héritière parviendra-t-elle à survivre à la faillite d'un pays entier (les États-Unis) ?
J'en profite pour inaugurer le mot-clé "lectures", auquel j'associerai les livres que je viens de terminer.
J'en profite pour inaugurer le mot-clé "lectures", auquel j'associerai les livres que je viens de terminer.
Je me posais justement la question de m'ouvrir un compte LinkedIn, histoire de pouvoir échanger avec d'autres personnes sur des questions professionnelles...
Je vais attendre. Un peu.
Je vais attendre. Un peu.
Extraits :
"On ne fait pas de débats publics pour savoir si 1+1=3, ou pour savoir si la Terre est ronde. Parce que sinon ça veut dire qu’on accepte qu’il est possible que 1+1=3 ou que la Terre soit plate. Débattre avec quelqu’un d’extrême-droite sous entend que, si ça se trouve, il a raison."
"Quand quelqu’un qui a une audience plus petite que la mienne m’attaque, je ne lui réponds pas. Alors que si la personne a une plus grande audience, je réponds immédiatement."
"Loi de Brandolini : certaines bêtise prennent vingt secondes à dire, mais des heures à réfuter. Par exemple, la phrase “le patriarcat n’existe pas car la plupart des personnes agressées physiquement sont des hommes” est très simple et rapide à dire. La première fois que j’ai entendu ça, je n’ai pas su quoi répondre. Je suis retourné chez moi et je suis tombé sur une vidéo d’une demi-heure qui réfutait cette phrase.
10 secondes pour le dire, 30 minutes pour le démonter. Terrible."
Et le reste de l'article est tout aussi pertinent. À lire d'urgence !
"On ne fait pas de débats publics pour savoir si 1+1=3, ou pour savoir si la Terre est ronde. Parce que sinon ça veut dire qu’on accepte qu’il est possible que 1+1=3 ou que la Terre soit plate. Débattre avec quelqu’un d’extrême-droite sous entend que, si ça se trouve, il a raison."
"Quand quelqu’un qui a une audience plus petite que la mienne m’attaque, je ne lui réponds pas. Alors que si la personne a une plus grande audience, je réponds immédiatement."
"Loi de Brandolini : certaines bêtise prennent vingt secondes à dire, mais des heures à réfuter. Par exemple, la phrase “le patriarcat n’existe pas car la plupart des personnes agressées physiquement sont des hommes” est très simple et rapide à dire. La première fois que j’ai entendu ça, je n’ai pas su quoi répondre. Je suis retourné chez moi et je suis tombé sur une vidéo d’une demi-heure qui réfutait cette phrase.
10 secondes pour le dire, 30 minutes pour le démonter. Terrible."
Et le reste de l'article est tout aussi pertinent. À lire d'urgence !
J'écoute ça et je découvre Gaston Bachelard...
Theunis de Jong, autrement connu sous le pseudonyme de "Jongware", est décédé le 28 novembre 2020 à l'âge de 54 ans.
"En fait, on peut parier que vous qui lisez le présent hommage, avez bénéficié d'une façon ou d'une autre, directement ou indirectement, de son aide. Et que vous n'aurez pas oublié sa patience, sa générosité, son sens de l'humour."
C'est clair. Et très triste aussi. Merci à lui, qui restera près de chacun de nous sous la forme de petits bouts de code.
« Trop d'idées, trop peu de temps ! »
"En fait, on peut parier que vous qui lisez le présent hommage, avez bénéficié d'une façon ou d'une autre, directement ou indirectement, de son aide. Et que vous n'aurez pas oublié sa patience, sa générosité, son sens de l'humour."
C'est clair. Et très triste aussi. Merci à lui, qui restera près de chacun de nous sous la forme de petits bouts de code.
« Trop d'idées, trop peu de temps ! »